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Un rançongiciel peut bloquer l’accès aux données d’une entreprise et menacer sa continuité d’activité.

Cyberattaque en entreprise : l’essentiel pour sauver sa PME

Cyberattaque en entreprise : l’essentiel pour sauver sa PME

Symbole de cadenas rouge déverrouillé sur écran d’ordinateur – illustration d’une cyberattaque par rançongiciel

Cyberattaque de PME : en Normandie aussi, le risque est à vos portes.

Entrepreneurs normands, vous vous pensez à l’abri de la cyberattaque de PME ? C’est faux. Vous êtes même en première ligne face aux cyberattaques. Phishing, rançongiciels, attaques Ddos… les attaques se multiplient. Et trop d’entreprises locales se disent « trop petites pour intéresser les cybercriminels ».

Cette erreur d’appréciation coûte cher. Un simple clic et l’activité s’arrête pendant des semaines. Perte de chiffre d’affaires, réputation dégradée, clients apeurés, équipes sous pression… 60 % des PME victimes d’une cyberattaque majeure ferment dans les 18 mois

Rassurez-vous, des solutions existent pour éviter le pire. Avec les bonnes pratiques et l’accompagnement d’un expert comme NTX Network, votre PME peut anticiper, se protéger et transformer la cybersécurité en atout stratégique. 

L’essentiel

Les cyberattaques frappent désormais en priorité les PME : phishing, rançongiciels, fraudes au directeur… aucune entreprise n’est trop petite pour être visée.

En Normandie comme ailleurs, les conséquences peuvent être fatales : pertes financières, image ternie, arrêt d’activité.

Bonne nouvelle : en adoptant les bons réflexes et en s’appuyant sur un partenaire local comme NTX Network, vous pouvez protéger vos données, assurer la continuité et renforcer la confiance de vos clients.

Le paradoxe de la sérénité

Selon une note de l’expert en entrepreneuriat André Letowski, 81 % des dirigeants de PME se disent confiants dans leur transformation numérique.

Une étude commandée par Cybermalveillance.gouv.fr auprès de 500 TPE et PME indique que 61 % des entreprises de moins de 250 salariés admettent être faiblement protégés.

Ce paradoxe de crée une faille de cybersécurité. Autrement dit : beaucoup se sentent armés, mais restent des proies faciles.

Voici d’autres chiffres (issus de ces sources), que vous devriez connaître :

  • 72 % des petites, très petites et moyennes entreprises n’ont pas de salariés dédiés à la cybersécurité
  • Pour 68 % de ces entreprises, le budget cybersécurité est de moins de 2 000 €
  • Seuls 39 % des dirigeants d’entreprise se disent préoccupés par les attaques cyber
  • Mais 37 % admettent que les attaques cyber ont mis leur entreprise en difficulté

Admettons un fait : la contradiction règne ! Mais ce n’est pas une raison pour laisser votre entreprise sans défense. Surtout si vous êtes néophyte en cybersécurité

Infographie des cyberattaques les plus courantes contre les entreprises françaises : phishing, faille logicielle, rançongiciels et DDoS

Les cyberattaques se diversifient

Les pirates ont de la suite dans les idées. Leurs cyberattaques se diversifient, augmentent fortement les risques sur la fuite des données, et mettent en péril la sécurité de votre entreprise.

Et chaque année, leurs méthodes se perfectionnent. En 2025, les entreprises normandes doivent composer avec une palette d’attaques redoutables. Passons en revue celles qui frappent vraiment les entreprises.

Les rançongiciels (Ransomware)

Imaginez. Un matin, vous arrivez au bureau et… impossible d’ouvrir vos fichiers. Tout est chiffré. Un message s’affiche sur vos systèmes : « payez 50 000 € en cryptomonnaie, sinon vos données sont perdues ».

Voilà le cauchemar d’un rançongiciel. En France, selon le MEDEF d’Île-de-France, 34 % des TPE/PME/ETI l’ont déjà vécu (en 2021 et 2022).

Un outil est à disposition des cybercriminels : le modèle Ransomware-as-a-Service (RaaS). Des groupes développent des outils et les louent à des « affiliés ». Ces pirates indépendants lancent les attaques en échange d’une commission…très dangereux pour la sécurité de votre entreprise. 

Le phishing et la fraude au directeur

L’activité des pirates est intense. Les pratiques se diversifient. Ici, c’est un faux mail d’une banque, d’un fournisseur, ou pire… de votre propre dirigeant. Les cybercriminels utilisent la pression, urgence, dont une demande de virement.

Et hop, l’argent de l’entreprise ou le vôtre filent. 38 % des entreprises ont déjà été visées par une fraude de ce type. Et rappelons que plus de 60 % des incidents démarrent par un email piégé.

À retenir : le phishing n’est pas seulement un spam. Il est désormais ciblé, personnalisé et amplifié par l’IA (emails sans fautes, faux logos, fausses voix).

Les attaques DDoS

Votre entreprise dispose d’un site e-commerce ? Imaginez-le inaccessible un samedi matin. Vos clients ne peuvent plus passer commande. C’est l’effet d’une attaque DDoS : on bombarde vos serveurs de millions de demandes jusqu’à les faire tomber.

  • Pourquoi c’est grave ? Parce que vos services en ligne deviennent inaccessibles. Site e-commerce, portail client, outils internes : tout est indisponible.
     
  • Tendance récente : la multiplication des ransom DDoS : « payez-nous et nous arrêtons l’attaque ».
     

À retenir : les attaques DDoS sont initiées par des millions de machines infectées (botnet IoT) à travers le monde. Il est facile à louer, même pour 20 € l’heure sur certains forums.

Les malwares mobiles et IoT

Vous êtes probablement fier que votre entreprise dispose d’un parc informatique diversifié. Vos collaborateurs utilisent des PC de bureau, des smartphones, tablettes, imprimantes connectées, caméras IP.

C’est bien. Mais ça multiplie les risques et offre des portes d’entrée aux pirates. Comment se passent les attaques ?

  • Sur mobiles : un SMS frauduleux, une application malveillante téléchargée, et l’attaquant accède à vos emails, contacts, authentifications.
  • Sur objets connectés (IoT) : ces équipements sont souvent configurés avec des mots de passe par défaut. Une fois compromis, ils peuvent servir de point d’entrée ou d’outil pour des attaques plus larges sur vos systèmes.
  • Chiffre clé : en 2024, 33 millions d’attaques mobiles ont été recensées dans le monde.

Notre conseil : ne négligez pas vos terminaux secondaires. Ce sont parfois les plus vulnérables, et les pirates le savent.

Les attaques de la chaîne logistique (Supply Chain)

Ces attaques prennent de l’ampleur. Selon Gartner, 45 % des entreprises subiront une attaque via leur chaîne d’approvisionnement d’ici fin 2025.

Pour une entreprise normande, qu’est-ce que ça veut dire ? Qu’un simple logiciel comptable ou une mise à jour SaaS peut servir de cheval de Troie.

Ces cyberattaques font partie des plus insidieuses. Parce que ce n’est pas votre entreprise qui est directement visée.

Non, les pirates s’en prennent à vos fournisseurs. En qui vous avez entièrement confiance. 

Voyez le tristement célèbre exemple de l’attaque du logiciel Kaseya en 2023, qui a permis d’infecter des centaines de PME en une seule fois.

N.B. Vos prestataires sont aussi des risques. Vous devez exiger d’eux un haut niveau de sécurité. Le même que celui que vous devriez appliquer à vos propres systèmes.

Vérité 1 – Vous n’êtes pas trop petit pour être une cible

Votre entreprise et ses données sont la cible parfaite des cybercriminels. Rappelons les chiffres de la cybersécurité en France.

  • 43 % des cyberattaques visent les très petites, petites et moyennes entreprises.
  • En France, ces entreprises représentent 34 % des victimes de rançongiciels recensées par l’ANSSI.
  • 86 % des cyberattaques réussies touchent directement les petites et moyennes entreprises.

Votre entreprise est donc bien une cible facile.

Pourquoi ? Parce que vos données valent cher et que vos défenses sont friables, voire inexistantes.

Et les pirates n’ont même plus besoin d’analyser votre activité ou vos informations. Ils lancent des bots qui scannent le web à la recherche de la moindre faille. Comme le cambrioleur teste vos portes et vos fenêtres. 

Les petites et moyennes entreprises normandes sont très vulnérables

Du point de vue de la sécurité informatique, le paysage entrepreneurial français fait peine à voir. Et les pirates le savent. Leur activité – intense – vise les petites structures.

Vous voulez savoir pourquoi ?

La réponse est simple : parce que ça marche.

Les petites en moyennes entreprises cumulent souvent plusieurs faiblesses. Rien de honteux là-dedans, mais c’est un fait. Et comprendre ces failles, c’est déjà commencer à se protéger du risque cyber.

Des budgets sécurité informatique limités

La cybersécurité, pour beaucoup de dirigeants et d’entreprises, c’est « on verra plus tard « . Ces structures envisagent la cybersécurité comme une dépense, pas comme un investissement stratégique.

Résultat : moins de 2 000 € par an investis dans la cybersécurité en moyenne. Pas de plan de reprise d’activité. Pas de sécurité sur le réseau Wi-Fi. Pas de télétravail sécurisé.

Pas d’équipe informatique interne et formée

Dans les petites entreprises, l’informatique, c’est souvent le comptable, la secrétaire, un collaborateur « qui s’y connaît en informatique ». Ou un prestataire informatique appelé en urgence.

Résultat : pas de surveillance continue des systèmes, pas de maintenance régulière. Avec, en prime, des logiciels obsolètes, des téléchargements non contrôlés, et des risques maximums.

Employés de PME en Normandie travaillant sur ordinateurs – cybersécurité et protection contre les cyberattaques

Vérité 2 – Votre plus grande faille n’est pas technologique, elle est humaine

Dans une entreprise, et en matière de risque cyber, le facteur humain est la porte d’entrée principale.

  • 80 % des incidents impliquent une erreur humaine.
  • 90 % des attaques réussies trouvent leur origine dans une action ou une omission d’un collaborateur.

Un clic sur une fausse facture, un mot de passe faible, un lien ouvert trop vite et votre faible protection saute. La meilleure technologie du monde ne compense pas une porte ouverte de l’intérieur.

Les impacts économiques d’une cyberattaque

La sécurité et le risque cyber méritent une approche froide et transparente. Alors, parlons franchement. Une cyberattaque n’est pas qu’un problème informatique.

C’est un problème de trésorerie, de clients et d’image.

Pour une entreprise normande, la cyberattaque crée souvent un avant et un après. Elle fait la différence entre continuer l’activité et fermer. Voici ce que ça coûte, concrètement.

L’arrêt brutal d’activité

Quand un ransomware chiffre vos données, ou qu’une attaque Ddos paralyse votre site web e-commerce, tout s’arrête. Votre entreprise subit une perte immédiate. Et une journée de production perdue, c’est des euros qui s’envolent et qui sont difficiles à récupérer.

Le chiffre clé à retenir : en moyenne, un incident cyber majeur génère 29 jours de paralysie ou de fonctionnement dégradé. Faites le compte pour votre entreprise.

La perte ou la fuite de données sensibles

Les bases clients, les contrats, la compta… les données, c’est le carburant d’une entreprise. Si ces données sont sans protection, stockées en local, le risque cyber est majeur. Sans système de sauvegarde professionnel, sans réseau informatique géré, la perte de vos informations peut être définitive.

En cas de fuite de données, c’est encore pire. Vos informations sont revendues sur le dark web ou exploitées par les entreprises concurrentes.

Une réputation fragilisée

Essayez de convaincre un prospect après avoir fait parler de votre entreprise après une fuite de données. La confiance des clients est l’actif le plus fragile. Et une cyberattaque la fissure instantanément. Retenez que :

  • 68 % des clients cessent toute relation avec une entreprise victime de fuite de données.
  • Les partenaires commerciaux peuvent aussi rompre les contrats ou imposer des audits de sécurité coûteux.
  • Restaurer l’image d’une entreprise après une attaque cyber est un long chemin… et génère des coûts indirects rarement anticipés.

Vérité 3 – Les pirates ne sont plus des amateurs

Le temps du hacker derrière son ordinateur, dans sa chambre, est révolu. La cybercriminalité est devenue une activité industrielle. C’est un système. Un groupe composite.

Et les cybercriminels génèrent des ressources importantes. Qui se chiffrent en millions d’euros. Sur cet aspect, deux points sont importants :

  • La cybercriminalité et le modèle Ransomware-as-a-Service : location d’outils malveillants, partage des gains.
     
  • Groupes comme LockBit 4.0 : service client, process rodés, réseau organisé comme une entreprise.

Votre petite entreprise est bien fragile face à une hydre à plusieurs têtes. C’est une industrie mondiale de la chasse aux données, très structurée.

Comment protéger efficacement votre PME ?

Tous ces risques vous laissent sans voix ? C’est normal. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il existe des solutions. Oui, une petite ou moyenne entreprise de Normandie peut se protéger, même avec un budget limité.

Mais il faut arrêter de penser que les cybercriminels sont peu actifs en France. Au contraire ! Comment renforcer la protection de votre entreprise, si petite soit-elle ? Voici les réflexes à adopter, dès maintenant.

1 – Changer de posture : passer de la réaction à la prévention

Beaucoup de PME ne s’intéressent à la cybersécurité qu’après avoir subi une attaque. C’est la pire stratégie possible.

  • Pourquoi ? Parce qu’une fois vos systèmes bloqués, il est trop tard : les pertes sont déjà là.
  • La bonne approche : anticiper. Considérer la cybersécurité non pas comme un coût, mais comme une assurance-vie pour votre activité.

La cybersécurité, c’est comme un extincteur : inutile d’attendre l’incendie pour l’acheter.

2 – Instaurer une culture de cybersécurité

Le facteur humain étant la faille numéro un, vos collaborateurs doivent devenir vos alliés.

  • Formation régulière : ateliers courts sur le phishing, l’usage des mots de passe, la gestion des pièces jointes.
  • Sensibilisation ludique : tests de faux phishing pour apprendre à reconnaître les pièges.
  • Communication interne : affiches, rappels simples, guides pratiques.
     

À retenir : un salarié formé, c’est une faille en moins. Et c’est bien moins coûteux qu’une attaque.

3 – Sécuriser les accès et les mots de passe

Les pirates du web exploitent souvent des mots de passe faibles ou réutilisés.

  • Bonnes pratiques :
     
  1. Longueur minimale de 12 caractères.
  2. Combinaison de majuscules, minuscules, chiffres et caractères spéciaux.
  3. Renouvellement régulier.
     
  • Outils utiles : gestionnaires de mots de passe (LastPass, KeePass, Bitwarden).
  • Le réflexe incontournable : activer l’authentification multifacteur (MFA) partout où c’est possible.

Avec la MFA, même un mot de passe volé ne suffit plus à compromettre vos systèmes.

4 – Maintenir vos systèmes à jour

La majorité des cyberattaques exploitent des failles connues… pour lesquelles il existe déjà un correctif !

  • À faire absolument :
     
  1. Activer les mises à jour automatiques des systèmes d’exploitation et logiciels.
  2. Vérifier régulièrement que les patchs sont installés.
  3. Ne pas négliger les périphériques (routeurs, imprimantes, caméras IP).
     

Les mises à jour sont gratuites. Ne pas les appliquer, c’est laisser le coffre-fort de votre entreprise ouvert.

5 – Sauvegarder et tester vos restaurations

Une sauvegarde n’a de valeur que si elle fonctionne au moment critique.

  • La règle du 3-2-1 :
     
  1. 3 copies de vos données.
  2. Sur 2 supports différents.
  3. Dont 1 externalisée (hors site ou dans le cloud sécurisé).
     
  • Automatiser les sauvegardes pour ne pas dépendre d’un oubli humain.
  • Tester régulièrement : simuler une restauration pour vérifier que tout fonctionne.
     

Une PME sur deux ne teste jamais ses sauvegardes. Résultat : le jour d’une attaque cyber, elles découvrent qu’elles sont inutilisables.

6 – Auditer et surveiller votre système d’information

La cybersécurité n’est pas un état fixe, mais un processus en mouvement.

  • Audits réguliers : identifier vos failles avant les pirates (tests d’intrusion, analyse de configuration).
  • Surveillance continue : outils de monitoring capables de détecter une activité suspecte.
  • Alertes proactives : journaux de connexion analysés pour repérer des comportements anormaux.

L’objectif n’est pas le risque zéro (impossible). Il s’agit de détecter l’intrusion avant qu’elle touche vos données.

7 – Préparer un plan de reprise d’activité (PRA)

Même avec les meilleures protections, une attaque cyber peut survenir. La différence entre une PME qui s’en sort et une autre qui coule ? Le plan de reprise d’activité.

  • Définir les priorités : quels services relancer en premier ?
  • Rôles clairs : qui contacte les clients, qui gère la technique, qui parle aux partenaires.
     
  • Scénarios de crise : simuler une attaque pour tester la réactivité.
     

Un PRA, c’est l’assurance de redémarrer vite, sans improviser ni paniquer.

8 – S’appuyer sur un partenaire de confiance

La cybersécurité est un métier d’expert. Et la plupart des PME n’ont pas le temps ni les compétences pour la gérer en interne.

  • Avantage d’un prestataire local comme NTX Network :
     
  1. Proximité géographique pour intervenir rapidement.
  2. Solutions adaptées aux budgets des PME.
  3. Accompagnement personnalisé, pas une hotline impersonnelle.

Ne restez pas seul. Externaliser une partie de votre sécurité, c’est gagner en sérénité et en efficacité.

Les solutions concrètes de NTX Network

Vous vous sentez dépassé face à tous ces risques cyber ? NTX Network, basé à Verson, a conçu des solutions pensées pour les PME locales.

Nous apportons aux petites structures ce que seules les grandes entreprises pouvaient s’offrir jusqu’ici : des services managés simples, sécurisés et clé en main.

Nos offres – SMART IT, SMART SECURITY et SMART BACKUP  sont simples mais complètes.

SMART SECURITY : cybersécurité proactive

  • Surveillance 24/7.
  • Détection et neutralisation immédiate.
  • Audits réguliers.

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Bonus : 7 réflexes bénéfiques pour votre entreprise

  1. Formation des équipes : sensibilisez-les au phishing et aux bonnes pratiques de sécurité informatique (sessions courtes, régulières).
  2. Activation de la double authentification (MFA) : indispensable sur les mails, le cloud et les outils sensibles.
  3. Mise à jour de tous vos systèmes : ordinateurs, serveurs, smartphones, routeurs, logiciels.
  4. Sauvegarde des données chaque jour, avec au moins une copie externalisée hors entreprise.
  5. Test des restaurations : une sauvegarde non testée ne vaut rien. Planifiez-la pour protéger vos données et informations.
  6. Audit de vos failles de sécurité cyber (mots de passe, accès, configurations) et correction immédiate.
  7. Mise en place d’un plan de reprise d’activité pour savoir comment agir le jour où tout tombe en panne.

Grâce à ces réflexes, vous réduisez drastiquement les risques de cyberattaque contre votre entreprise. Et vous gagnez en sérénité au quotidien.

Conclusion : ne laissez pas le hasard décider

  1. Est-ce que cet article éveille votre sens de la sécurité cyber ? Vous donne-t-il envie d’agir et de protéger vos données ? Car soyons francs. La question n’est plus « si », mais « quand » votre PME sera attaquée.

    Ces trois vérités – vous êtes une cible parfaite, l’humain est la faille n°1, la cybercriminalité est une industrie – convergent vers une seule conclusion. La cyber protection est une stratégie de survie.

    Ne laissez pas les cybercriminels détruire le travail d’une vie. Reprenez le contrôle sans vous ruiner. Contactez NTX Network dès aujourd’hui pour un audit de cybersécurité personnalisé. 

Cyberattaque en entreprise : l'essentiel pour sauver sa PME - 2025

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